Comme, le Frelon d’Europe, Vespa velutina construit un volumineux nid, composé de plusieurs galettes d’alvéoles. L’orifice de sortie est petit et latéral alors qu’il est large chez le Frelon d’Europe. Le nid primaire du Frelon asiatique est généralement construit dans un endroit abrité (ruche vide, cabanon, trou de mur, bord de toit, roncier…) mais, comme chez le Frelon d’Europe, si l’environnement devient défavorable ou l’emplacement trop étroit pour la colonie en croissance, celle-ci se délocalise dans un nouveau nid dès que les ouvrières l’ont construit dans un endroit plus favorable (en général au cours du mois d’août). Le nid du Frelon asiatique est sphérique quand il est abrité, mais il peut devenir ovalaire et atteindre jusqu’à 1 m de haut et 80 cm de diamètre quand il est fixé, comme c’est souvent le cas, à plus de 15 m de haut dans un grand arbre. On ne découvre en général les nids de Vespa velutina qu’en hiver, lorsque les arbres ont perdu leurs feuilles.
Elle recherche les ambiances chaudes et séches. Hors ses périodes de recherche de nourriture, elle peut staionner durant de longues périodes dans des endroits chauds et tranquilles à proximité des lits, fentes et cavités des boiseries, jointures des literies, dessou des tapis, envers des tableaux, espaces libres dérrières les papiers peints...Les infestations se produisent lors du déménagement de meubles, livres, literies, vêtements... Leur capacité à survire sans manger durant plusieurs mois augmente leurs chances de survie et donc leur capacité à migrer bien qu'il ne s'agissent pas d'insectes voalnts. Ceci explique leur omniprésence. La femelle pond en continu de 150 à 350 oeufs à raison de 3 oeufs par jour durant toute sa vie. L'adulte a une durée de vie de 9 à 18 semaiens.
Insectes sauteurs pour atteindre leurs proies. Les puces domestiques ou commensales de l'homme ont acquis une compatibilité totale avec notre sang et peuvent se nourrir aux dépends de leur hôte de prédilection. Elles affectionnent les fentes de parquets, les literies, les tapis, les moquettes et tentures. Les ifneestation se font par les vêtements, les colis ou par l'intermédiaire d'un animal. La puce du chat est à la base de la plupart des infestations actuelles.
On la trouve presque exclusivement dans l'habitat collectif qu'elle peut facilement infester depuis son habitat de base, plus rarement dans les pavillons. Elle affectionne une tampérature de 25° et un taux d'hygrométrie de 75%. Elle vient la nuit et accepte tout nourriture depuis les détritus presnants en abondance dans son habitat. Dans ces condtions idéales, une femmelle vit en moyenne 280 jours. L'accouplement se produit 5 à 8 fois en 80 jours, othèque contiennent de 20 à 40 oeufs.
Elle fréquente le même type d'habitat que les blattes germaniques mais les 2 éspèces sont antagonistes et ne se retrouvent pas sur un même site. La blatte américaine a une forte une forte tendance à pratiquer les espaces extéreiurs e les animaleries. On la trouve plus fréquemment que la blattes germanique dans les régions chaudes, Sud de la France, pourtour Méditerranéen...
Elle se distingue de la blatte germanique par sa taille (4 cm à l'état adulte)
Elle fréquente le même type d'habitat que les blattes germaniques mais les 2 espèces sont antagonistes et ne se retrouvent pas sur un même site. Elle occupe préférentiellement les caves, tous les lieux sombres, humides et plutôt frais. Dans l'ahabitat collectif on la trouvera en sous-sols, vides santiaires, locaux et galeries techniques, parkings... Elle peut gagner les structures supérieures d'un bâtiment lorsque, il est libre de blattes germanqiues et si il manque de la nourriture en sous-sol. Une femmelle est fécondée 13 à 15 fois au cours de sa vie. Une othèque coqntient 12 à 16 oeufs.
La mouche domestique reste active et se reproduit toute l'année. . La mouche domestique peut transmettre des vers intestinaux ou leurs oeufs et des maladies graves (dysentrie, choléra, typhoïde, gastro entérite, tuberculose) Elle se pose sur nos aliments après avoir été en contact avec des matières en décomposition. La transmission de germes pathogènes peut se faire par ses déjections sur nos aliments.
Les trous observés dans des bois infestés correspondent à des émergence par lesquelles les adultes quittent le bois pour retourner dans la nature. Les sciures observées sont des excréments de larves mélangés à du bois non digéré.